Le nouveau coronavirus (SARS-CoV-2) responsable de la COVID-19 s’est propagé rapidement depuis son apparition fin 2019, menant l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) à déclarer une pandémie mondiale le 11 mars 2020. À l’échelle planétaire, les gouvernements ont dû s’adapter et réagir rapidement pour enrayer la transmission du virus et assurer les soins nécessaires aux nombreuses victimes infectées. L’épreuve imposée aux systèmes de santé affectera sans nul doute la santé sexuelle et reproductive dans les pays à revenu faible ou intermédiaire (PRFI). Celle-ci subira cependant aussi l’impact des réponses sociétales à la pandémie — comme les confinements locaux ou nationaux qui imposent la fermeture des services sanitaires jugés non essentiels et les conséquences de la distanciation physique, des restrictions de déplacement et des ralentissements économiques.
Estimations de l’impact potentiel de la pandémie de COVID-19 sur la santé sexuelle et reproductive dans les pays à revenu faible ou intermédiaire
Auteurs
Taylor Riley, University of Washington Elizabeth A. Sully, Guttmacher Institute Zara Ahmed, Guttmacher Institute Ann BiddlecomUniquement disponible en format pdf
Author's Affiliations
Taylor Riley est associée principale à la recherche, Elizabeth Sully est chercheuse scientifique principale, Zara Ahmed est responsable adjointe des questions fédérales et Ann Biddlecom est responsable de la recherche internationale — toutes au Guttmacher Institute, à New York.
Acknowledgments
Ce commentaire est publié dans le cadre du projet « Vue d’ensemble », sous subvention d’UK Aid sous les auspices du gouvernement britannique et d’octrois de la Fondation Bill et Melinda Gates, du ministère néerlandais des Affaires étrangères et de la Children’s Investment Fund Foundation (CIFF). Les observations et les conclusions exprimées sont celles des auteurs. Elles ne reflètent pas nécessairement les positions ou les politiques des donateurs et bailleurs de fonds.
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